
Quoi de mieux qu’un animal préhistorique pour amorcer le futur ? Le paysage urbain débute sa transformation, le chantier commence, et ce dinosaure devient le premier marqueur de ce que sera le lieu plus tard : un lieu où l’imaginaire intègre le réel.
Comme le dira son créateur, il incarne le concept de « beauté cachée » : ce dinosaure de la famille des hadrosaures a « un ornement osseux sur le crâne qui est un prolongement de sa cloison nasale. En soufflant, ces animaux étaient de véritables flûtistes et produisaient des sons singulièrement envoûtants ».
La sculpture a fait l’objet d’un chantier participatif où cinq artistes amateurs : étudiantes, jeunes voisins, adhérents du Gem Envol&Cie, ont pu s’essayer à la peinture en bombe. L’œuvre n’aurait su voir le jour sans les pare-chocs de voiture, un grand merci à la casse Croix-Luizet (Villeurbanne) et à la carrosserie de l’Est (Vaulx-en-Velin) pour les dons.
A découvrir derrière le bâtiment du CIO, parc de l’Autre Soie.
Merci à Romain
Lardanchet et
à ses compères !